Surfeur, le bon collègue ?

Un brin relax & un peu trop zen. Si l’habit ne fait pas le moine, les tongs font bel et bien le surfeur.

Bosseur : Quand tu connais la difficulté pour tenir en équilibre sur une planche. Quand tu as enduré des heures de rames pour quelques minutes de glisse, tu peux être sur de ne pas avoir un feignant en face de toi.

Honnête : Nous en rajoutons assez sur notre plus grosse vague surfée et sur notre dernier gros roller qui ressemblait plus à une erreur de trajectoire qu’un découpage massif de vague. Pas besoin de se mentir sur le reste. C’est accessoire.

Ponctuel : Toujours à 11h59 et 17h58 en train de checker les webcams en live, le surfeur est souvent salé le matin à l’embauche les jours de swell. Mais rassures-toi, si ce dernier se décale de dix minutes un jour de session matinale il en rattrapera vingt un jour de flat. Mention à ne pas faire figurer sur le CDD.

Polyvalent : Le sport en général permet une bonne gestion du stress et une prise de recul sur sa vie professionnelle. Un esprit sain dans un corps bronzé. Décontracté mais sérieux. Concentré et concerné.

Propre : C’est un fait. Toujours trainer du sable et du sel dans ses cheveux et d’autres recoins de son corps nous oblige à se laver régulièrement. Un collègue qui sent bon ? C’est agréable.

Organisé : Évidemment dans le travail mais aussi dans son planning. Un surfeur sait déjà qu’il posera 3 semaines de RTT en février pour aller à Bali.

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